Madame Obono, je n'entends dans votre bouche que des mots très condescendants et très blessants, comme celui de mépris, à l'égard de collègues dont je peux témoigner de l'humanisme. On me permettra de les trouver particulièrement déplacés.
Nos désaccords portent tant sur l'objectif que sur la méthode. Je vous renvoie à l'excellent argumentaire de notre collègue Jean-Paul Mattei sur l'intérêt de l'approche par ordonnances en matière de définition des taux et de transition.
Avis défavorable.