Nous sommes entièrement d'accord que l'opt-in ne permettra pas de faire disparaître le problème. Je n'ai jamais prétendu, dans ma proposition de loi, que cela représentait la panacée, mais c'est une première étape. Élu d'un département frontalier avec l'Allemagne, je sais que la situation n'y est pas au même point qu'en France.
L'opt-in n'est certes pas le summum, mais il marque notre volonté de faire quelque chose. En tout cas, les solutions que vous avancez dans cette proposition de loi ne vous permettront pas d'atteindre les objectifs souhaités. « Les Français n'en peuvent plus, franchissons une étape », avez-vous dit. Je vous donne rendez-vous dans un an : les gens, dans vos permanences, vous diront que rien n'a changé.