Une fois encore, c'est une moisson de larmes que prépare votre projet.
Enfin, avec votre mauvais projet de loi, vous faites le choix de consacrer l'allongement des carrières en considérant le travail comme un loisir et en oubliant ceux pour qui le travail est une souffrance. Ils s'appellent Julie, José, Emmanuelle ou Clément, elles et ils sont conductrice de train, aide-soignant, salariée de l'agroalimentaire ou marin. Ils aiment leur travail, ce qui ne les empêche pas d'en mesurer la dureté.