Madame Fiat, nous sommes tous sensibles à l'émotion provoquée par le drame que vous venez d'évoquer. Toutefois, ainsi que je l'ai indiqué au président de votre groupe, l'usage limite la pratique des minutes de silence à des cas exceptionnels et solennels. Il ne peut y avoir, dans cet hémicycle, de minute de silence à l'initiative d'un député ou d'un groupe.
Permettez-moi d'ajouter que des professionnels de santé siègent sur tous les bancs et que chacun ici partage la peine de la famille endeuillée. Je vous demande donc de poursuivre votre question. À défaut, je serai conduit à vous retirer la parole.