Comme Agnès Buzyn, je suis médecin hospitalier : c'est ma passion, j'aime profondément l'hôpital. Vous vous inquiétez de sa situation, et vous avez raison. Je m'en inquiète aussi, comme Agnès Buzyn s'en est inquiétée. C'est pourquoi nous avons, dès cette rentrée, décaissé 150 millions en investissements courants pour les hôpitaux. C'est pour cela également qu'une reprise de dette hospitalière de 10 milliards a été annoncée.