Antoine Bozio lui-même dit que les études de cas présentées dans votre étude d'impact pipeautée n'ont rien à voir avec la législation effective et qu'elles sont donc inutiles, inopérantes pour défendre votre réforme. Un grand nombre d'économistes, de spécialistes, démontrent de A à Z que la vacuité des informations apportées au Parlement viendra nourrir un recours devant le Conseil constitutionnel.