Le système proposé n'est absolument pas universel, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, les corporations subsistent. Curieusement, monsieur le secrétaire d'État, vous vous gardez bien de parler du dispositif de la Banque de France, dont les avantages considérables demeurent. Mais la vraie rupture d'universalité se situe entre les générations : la génération née après 2004, celle née entre 1975 et 2004 et celle née avant 1975 auront chacune son système, ce qui est très grave.