Le système de 1946 avait sa logique, mais je vous invite, les uns et les autres, à réfléchir à l'exemple suivant, que j'ai cité en commission spéciale : si les informaticiens voulaient aujourd'hui leur propre caisse de retraite, celle-ci accumulerait rapidement des réserves, car ils sont nombreux à être en activité, peu nombreux en retraite et mieux payés que la moyenne.