Oui, monsieur le président, sur le fondement de l'article 70, alinéa 5. Je partage le point de vue du président Woerth : nous ne pouvons pas continuer nos travaux dans ces conditions. Nous avons droit au mensonge permanent depuis trois ou quatre jours et, désormais, nous avons droit à l'outrage : on nous a par exemple accusés à plusieurs reprises de mentir comme des arracheurs de dents. Nous ne pouvons pas siéger ici alors que nous faisons l'objet d'accusations personnelles. Nous ne sommes pas à la buvette de l'Assemblée, nous sommes dans la salle des séances.