Je rejoins ce qu'a exprimé mon collègue Marleix à l'instant. Nous disons la même chose : que ce soit pour les avocats ou pour le système hospitalier, c'est pareil, nous n'avons pas de réponses, on est toujours dans l'inconnu… Nous apportons des propositions, nous relayons des témoignages poignants sur des situations très fortes, et nous aimerions aller jusqu'au bout du débat avec vous, monsieur le secrétaire d'État, mais nous n'en avons pas les moyens. Cela pose un véritable problème. Quand nous disons que la raquette a des trous, ce n'est pas par plaisir mais parce qu'il faut bien constater qu'il y a des manques dans votre réforme universelle des retraites. Vous ne pouvez jamais répondre…. Mais vous ne pouvez pas demander au Parlement de voter une réforme sans lui apporter les éléments de réponse nécessaires, les éléments susceptibles de satisfaire l'ensemble des corporations, y compris celle des pompiers !