C'est la raison pour laquelle, nous posons les questions que soulèvent l'article 1er comme les principes généraux du texte. Monsieur le secrétaire d'État, il vous suffit de vous lever et de dire « Monsieur Mélenchon, vous vous alarmez pour rien, il n'y aura pas d'utilisation de l'article 49, alinéa 3. Malgré la procédure accélérée, nous continuerions l'examen du texte s'il n'était pas achevé à la date des congés parlementaires ». Dans ce cas, nous serions moins insistants sur l'article 1er ; mais aussi longtemps que nous craindrons une interruption du débat, …