Avant de m'exprimer sur le fond, j'aimerais présenter mes excuses à M. Dharréville. Je sais qu'il n'a pas apprécié les propos que j'ai tenus tout à l'heure, mais ils ne le visaient pas personnellement, non plus d'ailleurs que M. Jumel : avec l'un et l'autre, j'ai eu, au cours des travaux de la commission spéciale, des échanges approfondis, dont j'ai apprécié la qualité, malgré nos divergences sur la philosophie des projets de loi.