Il faut bien que je dise du bien de certaines choses de temps en temps ! Ces secteurs particulièrement actifs ont grand besoin d'un soutien à la fois politique et diplomatique.
Les difficultés qui nous attendent en Afrique – vous le savez bien, monsieur le ministre – vont sans doute nécessiter un effort supplémentaire. Ce qui se passe au Sahel et au Mali n'en est qu'un exemple.
Je me réjouis aussi, comme universitaire, des crédits consacrés à l'enseignement supérieur et à la recherche dans le but d'accroître notre attractivité universitaire et de développer l'insertion de la recherche française dans les réseaux de pointe. Il y a là aussi une novation…