Madame Rabault a évoqué l'objectif de la liberté de choix. Je reprends pour ma part un exemple relatif à l'équité, avec, à nouveau, le cas d'un ouvrier qui commencerait à travailler à 20 ans et qui cotiserait pendant quarante-trois ans. Je répète qu'il pourra accéder à une retraite à taux plein à 63 ans, soit un an de plus que l'âge légal, mais deux ans de moins que l'âge d'équilibre. Aussi aura-t-il un malus de 10 % sur sa pension, à vie.