Monsieur le secrétaire d'État, à ma connaissance, la CGT n'a encore pris aucune décision. Elle a publié un communiqué dans lequel elle note que, compte tenu de la manière dont les choses se sont passées, elle posera à ses instances dirigeantes la question de sa participation à la conférence. Peut-être répétez-vous que la CGT a quitté la conférence parce que vous souhaitez qu'elle le fasse : vous pouvez, sinon, vous reporter aux informations très claires qui sont publiées dans la presse.
Nous avons évoqué l'outre-mer : quelles actions sont conduites depuis deux ans sur le sujet ? Des concertations ont-elles été menées avec les premiers concernés ? Ces incertitudes posent de nouveau la question de l'universalité que vous mettez en avant.
Enfin, je suis surpris que la lettre que vous avez évoquée n'ait été adressée qu'aux seuls parlementaires ultramarins.
S'agissant des amendements en discussion commune de nos collègues Les Républicains, je pense, contrairement aux propos tenus par le rapporteur général, que la principale préoccupation du texte est bien la soutenabilité économique. Vous avez défendu le contraire, mais, à mes yeux, tout le reste n'est que de l'habillage.