La deuxième raison de notre colère, du moins de la mienne, tient en partie, monsieur Jumel, à vos constantes références à la vraie vie, que, selon vous, nous ne connaîtrions pas. Si j'ai rencontré un chaudronnier abîmé par la vie, ce n'était pas sur un marché ou dans un café, c'était mon père. Si j'ai rencontré une femme travaillant à la marée de Boulogne-sur-mer, ce n'était pas dans un café, c'était ma mère. C'est pourquoi j'en ai marre de vos références à la vraie vie !