Depuis la première minute de ce débat, le groupe Libertés et territoires, notamment lors de la discussion générale, a expliqué que le choix du Gouvernement de fixer une date butoir à l'examen du texte était mauvais. J'avais prévenu, à la fin de mon intervention, que l'article 49, alinéa 3 serait au bout du chemin.
Nous n'acceptons pas la partie de ping-pong infernale qui se déroule sous nos yeux, alors que ce texte est d'une importance considérable, puisqu'il porte sur 350 milliards d'euros et réforme le système de retraite de l'ensemble de nos concitoyens.