Nous assumons notre opposition au texte. Nous sommes contre la réforme qu'il prévoit et nous nous efforçons de le faire comprendre. Nous faisons ce que nous pouvons, en effet, pour faire en sorte qu'il ne soit pas adopté. Je ne vois pas ce qu'il y a de scandaleux et de choquant là-dedans. Cela s'appelle une opposition, monsieur le président Le Gendre.