Ma courte expérience me pousse à dire que, dans le cas contraire, nous perdrons beaucoup de temps. Les incidents de séance se multiplieront jusqu'à ce que vous ouvriez la possibilité de débattre d'un sujet qui concerne – excusez du peu ! – toute l'agriculture française et les 9 milliards d'euros de crédits provenant de la PAC.