Exactement. Comme mon ambition n'est ni de prêcher les convaincus ni de prêcher dans le désert, j'essaierai de favoriser le dialogue.
Les différents amendements portent sur le niveau de vie que l'on devrait s'engager à garantir.
La formulation « niveau de vie satisfaisant » – nous en avons parlé hier soir, madame Rubin, je ne me souviens plus si vous étiez présente – figurait déjà dans la loi de 2014, qui a fixé l'objectif d'un « niveau de vie satisfaisant pour tous les retraités » ; je n'ai pas fait de recherches dans les textes antérieurs. Il faut interpréter cet objectif comme permettant à chacune des majorités successives de définir ce qu'est ce « niveau satisfaisant » ; celui-ci peut varier suivant les majorités. En tout cas, on comprend bien l'objectif.
J'en viens au niveau de 75 % des salaires perçus pendant la carrière. En fin de soirée hier, afin de favoriser l'endormissement des uns et des autres,