Je souhaite que le mot « travail » apparaisse comme l'une des conditions du calcul de la retraite : d'où mon sous-amendement. Il est des évidences qu'il faut rappeler : la retraite, c'est la conséquence du travail, c'est un salaire différé.
Je vous propose, monsieur le secrétaire d'État, le cas très précis d'une personne que je connais bien : une jeune femme entrée aux hôpitaux de Paris comme agent hospitalier. Par la suite, elle est devenue aide-soignante, puis infirmière.