Je pense qu'on a raison, lorsqu'on est un législateur, de se référer au cadre large dans lequel le débat s'inscrit. Nous rejetons une logique comptable, nous vous expliquons une logique historique, et vous dites que je vous donne des cours… Que voulez-vous donc, à la fin ? Une opposition qui ne s'oppose pas, qui ne demande pas de supprimer les dispositions du projet de loi, et qui ne vote pas ? Cela n'existe pas !
Dans ces rappels permanents, il y a quelque chose de totalitaire…