Je me garderai bien d'ajouter la moindre critique susceptible de relancer la polémique, toutefois je constate une contradiction folle entre la volonté d'avoir un débat efficace, démocratique et riche, et le fait qu'au bout de sept jours, nous n'en soyons encore qu'à la moitié de l'article 1er ! J'accorderais le plus grand crédit à ces déclarations de bonne volonté si elles étaient suivies d'actes capables de démontrer, pour nous comme pour les Français qui nous regardent, que nous sommes prêts à aller jusqu'au bout de la discussion du texte.