Après de telles réponses, je tiens à défendre l'amendement. Nous ne cherchons pas à opposer le travail et le capital, mais à inscrire parmi les grands principes de votre texte la possibilité de les faire participer tous deux au financement du système de retraite. N'est-ce pas le but de nos débats, que de vous proposer d'autres options que les vôtres ? Vous prévoyez de ramener la part des richesses consacrée par notre pays au financement du système de retraite de 14 % aujourd'hui à 12,9 % en 2050, alors qu'elle a toujours augmenté depuis 1950.