Vous avouerez, monsieur le président, la bassesse de l'attaque. Comment peut-on nous mépriser à ce point et remettre en cause notre envie d'un débat démocratique ? Nous avons proposé un référendum sur ce texte de loi ; vous n'en avez pas voulu. Nous avons déposé 10 000 amendements ; vous avez trouvé que c'était trop. Quel chiffre vous paraît acceptable ? Nous avons voulu les défendre ; vous en avez supprimé 1 000, que vous avez ensuite dû rétablir. Qui donc a un problème avec le débat dans cet hémicycle ? Qui est un ennemi de la démocratie ?