Si M. Juanico veut pouvoir organiser son week-end, pas de problème : qu'il parle à ses voisins et leur fasse retirer les trois quarts de leurs 33 791 amendements, et nous pourrons reprendre un débat normal.
J'ai bien compris que ces amendements n'étaient qu'un prétexte pour nous faire sauter comme des cabris d'un article à l'autre – en l'occurrence, à l'article 13. Hier, nous avons ainsi passé en revue à peu près la moitié du texte, de manière totalement désordonnée, puisque les auteurs des amendements veulent donner l'impression que le projet de loi n'est pas ordonné.
On nous propose une nouvelle fois de réserver l'article 1er, c'est-à-dire de passer, encore une fois, d'un article à l'autre. Mais, monsieur Coquerel, 33 791 amendements, dans l'ordre ou dans le désordre, cela fait toujours 33 791 amendements !