Je trouve qu'il y a quelque chose à faire. J'ai travaillé sur l'eau, notamment au Moyen Orient. C'est un secteur qui permet d'attirer le privé parce que ce n'est pas seulement une question de subsistance, mais également la possibilité de générer des bénéfices considérables. J'ai travaillé sur le Jourdain. Israël et la Jordanie travaillent comme ça, et l'Arabie saoudite, à tort, s'y refuse. Ils sont capables de lever des fonds privés importants.
Encore une fois, on ne fera pas de plan Marshall sans le privé.