Non, justement. Ces plans sont très interministériels et permettent de prendre le sujet dans sa globalité, que ce soit sur des questions sociales, des questions culturelles, des questions de santé ou des questions scientifiques de fond. Je ne souhaite pas priver la recherche sur le chlordécone de l'interaction, de façon générale, avec la recherche sur les pesticides et sur les perturbateurs endocriniens car les solutions et une meilleure compréhension de ce qu'implique et de ce qu'induit le chlordécone seront peut-être issues d'études menées sur un autre perturbateur endocrinien. C'est une volonté de faire en sorte que les chercheurs de plusieurs disciplines travaillent ensemble sur ce que j'appelle des défis.