Tout à fait. Cette notion de loi de programmation sur la recherche, c'est la volonté de dire « il y a la recherche sur la santé environnementale que je veux mettre comme une priorité, et dans ces priorités, je veux mettre le volet chlordécone. » Je me dis que la ministre est largement bien placée pour nous dire ce qu'il y a de mieux à faire. Ce que je ferai en tant que ministre des outre-mer, et le rôle qui est le mien, est de veiller à ce que la recherche outre-mer, et notamment sur ce grave sujet, ce drame, parce que c'est un drame, il y ait les moyens de pouvoir faire les recherches nécessaires aujourd'hui. Nous avons insuffisamment d'informations, de données sur la dépollution des terres et sur la question de la contamination.