Je ne pense pas qu'il s'agissait d'une volonté de ne pas dire les choses, mais plutôt de les dire d'une autre manière. J'avais ainsi préparé une note pour le groupe régional phytosanitaire du mois de juillet, au cours duquel nous devions traiter d'un gros dossier sur les pesticides, ainsi qu'un discours introductif pour le préfet. Il ne l'a évidemment pas lu et a présenté les choses autrement. J'expliquais dans ce discours tout ce que j'ai toujours pensé, et que j'ai martelé sans cesse depuis toutes ces années.