C'est exact, monsieur le président. Les seuls éléments en ma possession, qui ont d'ailleurs été diffusés dans la presse en 2007, à savoir les rapports de la commission des toxiques, permettent de constater que les derniers comptes rendus, c'est-à-dire ceux produits au moment de l'interdiction, font état d'une APV datant de 1972. Ils ne font même pas état d'une APV de 1981. Je ne sais d'ailleurs pas si vous avez en définitive pu l'obtenir du ministère de l'agriculture.