Certes. On ne comprend pas les décisions que pendant quarante ans, plusieurs ministres et responsables de l'État ont prises si l'on ne considère pas qu'il s'agit d'un paquebot, lequel comporte différentes branches et avance dans cette dynamique depuis très longtemps.
Aux Antilles, en Guinée, en Côte d'Ivoire, au Cameroun, des instituts se sont mis en place pour privilégier les plantations. On a l'impression que la seule façon d'habiter ces terres est d'en faire ce « puzzle de plantations » que j'évoquais. Il semble que l'on ne puisse pas faire autrement, pour maintenir une forme de paix sociale. On arrive alors à ne pas voir la toxicité.