Remarquable, il avait le mérite d'apporter toutes les réponses aux questions que l'on pouvait se poser.
Aujourd'hui, vous ne nous apportez aucune réponse sur la fonction publique territoriale. Vous n'en avez pas plus pour la fonction publique hospitalière, qui subira les mêmes mesures de suppression de la référence aux six derniers mois de carrière et d'évolution de la base du salaire sur laquelle seront assises les cotisations. Nous n'avons également aucune réponse sur l'avenir des catégories actives, notamment les aides-soignants. Ce ne sont évidemment pas les contraintes budgétaires pesant sur l'hôpital qui sont de nature à nous rassurer sur les réponses qui seront apportées aux agents de la fonction publique hospitalière.
Monsieur le secrétaire d'État, notre débat, tout à fait nécessaire, n'a pas trop duré : prenez le temps qu'il faudra, mais des millions de fonctionnaires de notre pays nous écoutent et attendent des réponses de votre part.