Profitons du calme pour continuer à discuter. Vous évoquez 325 milliards d'euros qui partiraient vers la capitalisation, alors que, je l'ai dit, le marché de la capitalisation représente au bas mot 6 000 milliards d'euros. En outre, ces 325 milliards, nous venons d'en affecter 97 % au régime général obligatoire. Nous ne laisserons tout au plus que quelques toutes petites miettes à un marché que cela n'intéressera pas énormément.