Monsieur le rapporteur général, vous avez raison lorsque vous affirmez assumer ce choix politique. Il s'agit en effet d'une décision purement politique, et qui met en danger le dispositif. Vous ne traitez que la face cachée de l'iceberg. Je croyais que nous débattions de la réforme des retraites. Or vous proposez, en l'espèce, d'augmenter la rémunération des enseignants. Ce n'est pas sérieux !