Chère collègue Cendra Motin, vous avez bien raison de dire que c'est un grand bond en arrière qui nous est proposé au travers de cette réforme ! Merci pour cet aveu !
Vous avez dit, monsieur le secrétaire d'État, que nous voulions supprimer le coeur de votre réforme, mais ce coeur, à peine sorti de la forge, ne bat déjà plus ! Votre système ne fonctionne pas, et vous le savez. C'est une machine infernale que vous êtes en train de mettre en place.
Vous nous aviez promis de la lisibilité, de la visibilité et autres choses mirobolantes.