Monsieur Lorion, j'ai déjà évoqué la situation des outre-mer, en répondant à M. Jumel, qui s'est inquiété des dispositions qui leur sont réservées. Vous savez ce qu'il en est, puisque je vous ai écrit, à vous comme à tous ceux qui représentent les ultramarins dans leur territoire et dans cet hémicycle.