La deuxième, c'est de revoir ce qui mérite d'être revu dans la loi EGALIM pour les éleveurs de bovins allaitants. Nous sommes prêts, avec Didier Guillaume, à améliorer le texte pour faire en sorte que les contraintes soient plus fortes et que les éleveurs soient mieux rémunérés.
La troisième réponse réside évidemment dans la politique agricole commune. Le Président de la République l'a dit et se bat pour cela : nous sommes prêts à ce que soient prises des mesures spécifiques pour les secteurs les plus menacés, au premier rangs desquels les éleveurs de bovins allaitants.