Chers collègues, j'ai du mal à vous suivre quand je vois cet amendement et d'autres qui suivront, notamment concernant l'Opéra de Paris ! Nous venons de terminer l'article 1er, sur lequel vous avez déposé de nombreux amendements dénonçant le fait que nous ne créions pas un régime réellement universel. Vous vouliez aller beaucoup plus loin dans l'universalité ; puristes, vous nous expliquiez que dès lors que nous reconnaissions certaines spécificités, notamment celles des marins – que nous voulons intégrer au régime universel, mais en tenant compte des particularités de ce métier – , le système à venir n'était pas universel.