Je profite à la fois d'un moment de calme relatif au sein de notre assemblée – contrairement à ce que pensent certains, il me semble qu'on se dit plus de choses depuis une heure qu'on ne s'en est dites depuis quelque temps – et du fait d'être le seul de mon groupe pour intervenir.
Quel dommage ! Je vous le dis, monsieur le président, parce que je vois dans vos yeux une étrange flamme :