C'est vrai, au contraire ! Cette situation s'explique par le passé.
Je conseillerai par ailleurs à M. Rebeyrotte, qui prétend que les agriculteurs ont délibérément choisi de ne pas intégrer le régime général, de revenir aux fondamentaux. Que ceux qui s'intéressent un tant soit peu au monde agricole se posent la question de la capacité financière des agriculteurs, il y a soixante-dix, cinquante, trente ou vingt ans et même aujourd'hui, de cotiser au régime général, au vu de ce qu'ils parvenaient à produire et à gagner !