Nous vivons le temps du grand bond en arrière, y compris pour ce qui concerne le temps de travail. Aujourd'hui, pour verser toujours plus de dividendes aux actionnaires – la part en est passée de 4 % à 12 % de la valeur ajoutée – , il faut revenir sur le temps de travail des salariés. Cela se fait aussi par la création de besoins artificiels : on doit travailler pour s'acheter des trucs chers et nuisibles – un iPhone coûte l'équivalent de trois semaines de travail à Paris.