Pour Edgar Faure, qui a présidé cette assemblée, la procédure budgétaire, c'était litanie, liturgie, léthargie. Essayons de démentir cet adage. Au nom du premier groupe d'opposition – l'Assemblée nationale est encore libre de poser un certain nombre de questions au ministre – , j'aurais souhaité que le ministre esquisse quelques réponses, notamment sur deux des questions que j'ai posées dans mon intervention. S'agissant des régularisations, comptez-vous poursuivre la politique de François Hollande – 150 000 régularisations ? Il serait également intéressant de connaître votre point de vue sur l'organisation d'un débat sur des plafonds chiffrés en matière d'immigration.