Cet amendement vise à réduire l'enveloppe destinée à l'accompagnement des migrants réfugiés de plus de 16 millions d'euros et celle consacrée à l'accès à la nationalité française de 600 000 euros.
Nous vous proposons d'annuler les crédits alloués aux migrants pour financer des études universitaires, alors que vous refusez l'accès à ces mêmes études aux étudiants français contraints d'être tirés au sort pour suivre la formation de leur choix.