Ce sera mon premier rappel au règlement et la troisième fois que je m'exprime sur le projet de loi. C'est avec émotion que je prends la parole. Bien sûr, je n'ai pas goûté le grand-guignol de tout à l'heure, ni l'expression « vous n'êtes rien » ; mais la chose qui m'a le plus frappé – je le dis sans pathos – , c'est l'attaque contre Hubert Wulfranc et sa défense de l'amendement. Je connais son histoire, je connais l'homme qui l'est et j'ai de la considération pour chacun des concitoyens qui l'ont élu député. Il n'y avait rien, dans ses propos, qui puisse être ainsi ridiculisé.