Je vous présente mes excuses pour avoir dit que vous n'étiez rien, mais, à un moment donné, c'est le bonhomme qui parle. J'essaie d'être présent au banc, avec l'équipe de corapporteurs. Nous avons tous travaillé. Or là, nous desservons le fonctionnement du Parlement. N'en êtes-vous pas convaincus ? Quel rôle jouons-nous ? Nous ne parlons qu'à nous-mêmes. Quelle sera notre image demain dans les médias ? On nous renverra l'image de gens qui s'amusent et qui passent le temps – des puissants. Cela ne rime à rien.
Voilà ce que je voulais exprimer. Je suis désolé de ma formulation, qui était sous le coup d'une impulsion, mais je vous assure que l'on se grandirait à faire autre chose.