Pour répondre à de précédentes interventions, pour ce qui me concerne, je ne mets pas en doute la parole des collègues qui expliquent rencontrer des coiffeurs, des bouchers, des boulangers, des avocats, des kinésithérapeutes ou des experts-comptables. Je leur signale simplement que nous en rencontrons aussi. Ceux que vous rencontrez, à vous entendre, soutiennent votre réforme. Ceux que nous rencontrons, pour notre part, expriment l'avis inverse.
Nous vous avions proposé, afin de mettre tout le monde d'accord, d'organiser un référendum. Les bouchers, les boulangers, les ouvriers et les employés auraient ainsi pu s'exprimer.