Chère collègue, je suis vice-président depuis douze ans et je siège à l'Assemblée depuis vingt ans. Je suis attaché à cette institution et je ferai tout pour préserver le maximum de sérénité en son sein. Il est très fréquent d'indiquer le rythme auquel nous examinons les amendements, ce qui permet à tout un chacun d'être au fait de la progression de l'examen du texte. J'attends donc de vous des excuses. En attendant, nos travaux sont suspendus pour dix minutes.