Monsieur le président, je voulais vous présenter des excuses ; je pense que c'est important pour la suite de nos débats. J'aimerais maintenant que chacun se replonge dans nos travaux sur le fond, car c'est ce que nous souhaitons. Nous en parlions avec Mme Annie Genevard, vice-présidente de notre assemblée, il y a quelque jour, et cela se vérifie : franchement, les réseaux sociaux n'ont rien à faire dans l'hémicycle !