Ceux-ci vont, comme les infirmiers, se spécialiser dans l'accompagnement de cas typiques où leur intervention demeurera essentielle sans qu'il soit nécessaire de maintenir leur nombre actuel, étant entendu qu'en outre, le ratio entre le nombre de pensionnés et le nombre de cotisants connaîtra une forte hausse. C'est pourquoi la profession s'est elle-même adaptée en augmentant ses cotisations et en prévoyant le rythme de transition. De même, c'est pour eux que nous prenons ces dispositions dans la réforme, en cohérence avec les décisions de la CNBF.